Repos mérité à Funchal
Mille excuses d'abord pour ce retard dans la mise à jour du blog mais il n'y a pas que les minis qui ont été soumis aux aléas de la météo ce week-end (internet n'a pas apprécié la tempête de ce week-end dans le Golfe de Saint-Tropez).
En tous cas, tout le monde le sait maintenant, notre skipper est arrivé à bon port dimanche vers 17h. 11ème au classement protos et 16ème au scratch.
Bilan mitigé.
En effet, handicapé par des problèmes aux safrans et à la quille (rien que ça!), François n'a pas pu attaquer comme il l'aurait voulu. A son arrivée, un autre concurrent venu l'accueillir lui a même dit en touchant ses safrans : "mais comment t'as fait pour arriver jusqu' ici ?...". Un peu frustrant donc quand on connaît les capacités de François et le plaisir qu'il aurait pu prendre à faire surfer son mini au taquet dans les vagues.
Compte tenu de ces désagréments, François rapportait hier qu'il ne s'en tirait pas si mal et qu'il y avait encore une carte à jouer pour la 2ème étape.
Evidemment !
Même si les premiers ont pris une avance confortable, la route est encore longue. Les marins savent bien que les obstacles pour rallier Bahia sont encore nombreux. La fameuse zone de convergence inter-tropicale, alias pot-au noir, où la météo imprévisible hésite entre pétole, averses diluviennes et vents violents réserve toujours des surprises !
Pour l'instant l'heure est aux réparations et à l'amélioration du bateau pour pouvoir se lancer pleinement dans la 2ème étape. Avec une arrêt à Funchal de presque 2 semaines François a largement le temps de remédier à tous ces tracas.
Côté bonhomme, mis à part une grosse fatigue légitime, le physique n'a pas trop souffert et le 3 octobre on peut être certain que François sera sur la ligne de départ avec toujours la même excitation et la même envie de gagner Bahia le plus vite possible.
En tous cas, tout le monde le sait maintenant, notre skipper est arrivé à bon port dimanche vers 17h. 11ème au classement protos et 16ème au scratch.
Bilan mitigé.
En effet, handicapé par des problèmes aux safrans et à la quille (rien que ça!), François n'a pas pu attaquer comme il l'aurait voulu. A son arrivée, un autre concurrent venu l'accueillir lui a même dit en touchant ses safrans : "mais comment t'as fait pour arriver jusqu' ici ?...". Un peu frustrant donc quand on connaît les capacités de François et le plaisir qu'il aurait pu prendre à faire surfer son mini au taquet dans les vagues.
Compte tenu de ces désagréments, François rapportait hier qu'il ne s'en tirait pas si mal et qu'il y avait encore une carte à jouer pour la 2ème étape.
Evidemment !
Même si les premiers ont pris une avance confortable, la route est encore longue. Les marins savent bien que les obstacles pour rallier Bahia sont encore nombreux. La fameuse zone de convergence inter-tropicale, alias pot-au noir, où la météo imprévisible hésite entre pétole, averses diluviennes et vents violents réserve toujours des surprises !
Pour l'instant l'heure est aux réparations et à l'amélioration du bateau pour pouvoir se lancer pleinement dans la 2ème étape. Avec une arrêt à Funchal de presque 2 semaines François a largement le temps de remédier à tous ces tracas.
Côté bonhomme, mis à part une grosse fatigue légitime, le physique n'a pas trop souffert et le 3 octobre on peut être certain que François sera sur la ligne de départ avec toujours la même excitation et la même envie de gagner Bahia le plus vite possible.